Richard Bona, et la basse fit battre mon coeur

 

Un galet que l’on tient au creux de la main, son toucher nous caresse la paume. Une découpe profilée de fesses africaines, rondes, galbées, bien debout.

Un galet poli par le ressac des frappes de tambour, ayant gardé en son cœur, l’éruption des rythmes des éléments qui l’ont façonné.

Un galet qui nous vient des rives de Cuba, de l’Afrique, de l’Amérique.  L’écho de toutes ces latitudes s’égrènent au son de la basse lyre et du chant de Richard Bona.